Les confessions érotiques d'un gay initié d'une façon un peu rude

Bonjour, R, 25ans. Je vais vous raconter comment ma petite vie s'est vue grandement chamboulée depuis quelque temps.

Après des études en informatiques j'ai rapidement gravi les échelons au sein de l'immense entreprise S.. Il faut dire que mon père y est pour beaucoup. J'ai toujours pu réaliser tout ce que je désirais. Quand on fait parti de la haute société et qu'on est plein aux as tout est permis. Sans le faire exprès, j'ai fait beaucoup de peine a mes amis ou autre gens de mon entourage. Quand on voit comment ses parent traitent les gens qu'ils pensent inférieurs à eux, on en prend aussi la mauvaise habitude. Mais alors que je réussis ma vie professionnelle et amoureuse (je suis fiancé à une très belle femme, parfaite ! ) voilà que mon passé me rattrape.

Je reçois un appel d'un homme qui a des choses à me dire. Je décide de le rencontrer. Arrivé au rendez-vous je tombe sur un ancien camarade de classe (enfin camarade de classe, je l'ai bien fait galérer, sa mère travaillant comme domestique chez moi.) Il est devenu psychiatre (belle réussite ! ) et un de ses patients culpabilisant trop d'avoir fait une fraude le lui a confié, et merde, le commanditaire c'était moi.

A l'époque je flambais au casino et pour que mon père ne le sache j'avais monté une petite magouille pour recouvrir un peu d'argent mais ce fut la seule fois que je franchis les limites de la loi. Et il a fallu que ce connard de Damien tombe dessus et qu'il vienne me narguer. Je lui propose de l'argent pour oublier tout ça mais il ne veut rien entendre. Il n'a pas oublié la façon dont je le traitais lui, et les humiliations de sa mère dans notre grande maison.

Il me demande d'aller chez lui le lendemain pour en finir et me dit qu'après, j'entendrais plus parler de lui. J'essayai de ne plus y penser jusqu'au lendemain et décidai d'aller affronter ce petit con . En y arrivant je tombe sur un grand noir qui discute avec Damien. Ce dernier me parle de son deal. Je fais une fellation au noir, et lui me voyant ainsi humilié pourra assouvir sa vengeance.

Je refusai cette ignominie et décidai de m’en aller. Il m’arrêta et me dit être en possession de documents très compromettants. Il me les montra, d’ailleurs. Mon complice d’autrefois lui a remis tous les documents de la transaction. “Une pipe et t’en auras fini pour toujours”,me dit-il. Je regardais le grand black et l’idée d’aller le sucer me répugnait affreusement, mais si c’était la seule façon de me tirer d’affaire, je devais le faire. Après tous ça n’allait être qu’un mauvais quart d’heure. “D’accord ,dis-je, mais après je veux plus entendre parler de toi”. Il ne perdit pas de temps et me demanda de me mettre à poil, ce que je refusai. La dessus il s’approcha et me mit une belle baffe. J’étais abasourdi. “Tu crois que tu as le choix petite salope," me balance-t-il, "tu crois que ton père va te tirer d’affaire cette fois ? ” Allez, à poil ! Et fissa !

J’avais perdu tous mes moyens. Le black et lui était tous deux de costauds gaillards et virils de surcroît. Je me souviens que c’est pour cette raison aussi que je détestais Damien à l’époque. Lui était très viril alors que moi j’ai un corps et un visage très féminins. Le black semblait apprécier, car il me fit sortir de ma torpeur en disant: “Dis donc, Damien tu choisis bien les petites putes. Regarde moi ce visage et ce corps de salope. Je vais bien m’amuser. Allez ma cochonne viens me sucer ! "

La dessus, Damien me donna une claque sur le cul et je me dirigeai fébrilement vers l’énorme pieu qui se dressait devant moi. J’étais captivé. Tous ceci me répugnait mais en même les personnalités de Damien et du black faisaient naître chez moi un sentiment trouble que je ne pouvais expliquer. Je m’approchai de cette énorme queue qui était beaucoup plus grosse que la mienne, et en fermant les yeux tout en pensant à autre chose, j’approchai ma bouche. Et la clac ! Nouvelle baffe ! C’était Damien : “Ouvre bien ta gueule et avale et suce comme la vraie salope que tu es.

Loin de me faire mal, ces baffes et ces paroles crues augmentaient le désir trouble déjà installé. Je m’appliquais à sucer cette bite qui me distendait les lèvres. Omar, le black, était assis dans le canapé et moi j’étais à 4 pattes entre ses cuisses, essayant de le sucer du mieux que je pouvais. Damien trouvait que je me foutais d’eux. Il s’approcha, me tira les mains en arrière, et de l’autre main m’agrippa les cheveux. “Baise lui la bouche à cette pute” dit-il à Omar. Celui ne ce fit pas prier, m’enfonça sa bite dans la bouche, et commença un va et viens violent. Il la retirais de temps en temps et me claquait les joues avec. Sous les encouragements de Damien il continuait son viol de ma bouche. J’ai même eu la nausée lorsqu’il essaya de s’enfoncer le plus loin possible dans ma gorge. J’étais essoufflé. Soudain, sa bite tressauta, il se retira et jouit sur mon visage et mes cheveux. C’était incroyable la quantité de sperme qu’il me balança.

C’est dans la même position inconfortable, à 4 pattes, mains et tête tirées en arrière et le visage plein de foutre que Damien demanda à Omar de me prendre en photo. J’étais trop faible pour résister. Après avoir pris plusieurs clichés, ils me laissèrent reprendre mon soufflé. Mais pas pour longtemps, car Damien s’approcha de moi, et me remit quelques baffes alors que j’étais allongé par terre. J’avais soif et le lui dis. Il éclata de rire, et alors que j’étais toujours par terre il souleva ma tête, m’enfonça sa bite, et me baisa la bouche encore plus violemment qu’Omar.

“Regarde moi quand tu me suces petite vicieuse ! ” Il trouvait que je ne salivais pas assez, alors il me cracha dans la bouche et il me f o r ç a à le remercier de me faciliter la tache. Il était en extase de me voir ainsi humilié.

Pendant ce temps, Omar s’approcha de mon cul et commença à jouer avec mon petit trou. J’étais paniqué. J’espérais qu’il n’allait pas en plus me sodomiser, ce serait la honte totale. Heureusement, il s’arrêta et se rassit dans le canapé. Damien aussi me lâcha. Il prit un verre, déchargea tout son foutre dedans, et me le tendit. "T’avais soif, et bien bois ! " Je refusai. Il s’énerva et me fessa violemment avec une chaussure. "Je t’ai dit de boire, connasse, alors bois ! " Devant tant de puissance, je me soumis et j’avalai ce breuvage qui me dégoûtait, rapidement. Ouf c’est passé! Mais j’avais vraiment soif et le suppliai de me laissé me désaltérer. Là, ils s’éclaffèrent tous les deux et Damien me dit :

“C’est pas possible ! Tu nous cherches, ou quoi ? Voila que tu nous as donné une super idée.” Je redoutais ce qui allait se passer. Damien me prit par les cheveux, et me traîna à la salle de bains. Là je compris ce qu’il allait faire, et essayai de me débattre, mais il m’immobilisèrent facilement et m’attachèrent vite fait au lavabo. Ils se moquèrent encore de ma faiblesse physique. “Avec l’argent de son papa on peut jouer au puissant, mais là on voit quelle mauviette tu fais”, dit Damien, sarcastique. Ils commencèrent à me pisser dessus en riant. Je voyais le sourire vainqueur de Damien qui heureusement se contenta de me pisser sur le corps et le visage, mais ne me força pas à en boire.

“Regarde comme t’es sale petite pute, allez va te laver.” Le black visiblement très excite par ma personne et mon petit cul décida qu’il allait m’enculer. Damien approuva. Il enleva le pommeau de la douche, prit le tuyau et me remplit le cul d’eau chaude. Après quelques instants je déféquai et il répéta l’opération. Puis il m’enfonça deux doigts dans le cul, ce qui m’arracha un râle de douleur, car c'était la première fois qu’on touchait à mon petit trou. Il les retira et me les donna à sucer. Je refusai. Encore une fois après quelque baffes je cédai, et il me demanda si j’étais bien propre et en effet je l’étais. Je le suppliai une dernière fois de ne pas le faire, mais ne tint aucun compte de mes protestations, et dit à Omar de me lécher le petit trou.

Avec ses grosses lèvres chaudes et charnues, le black me lécha goulûment, et à cet instant une vague de chaleur se rependit dans tout mon corps. Ce qu’il me faisait était trop bon. Il alternait léchage et doigtage, ce qui me fit bander comme un taureau. Damien lui me suçait les tétons en me mettant des petites baffes dans la gueule, et me traitant de tous les noms. Mon corps était bouillant, j’étais au bord d’exploser de jouissance. Mon anus acceptait volontiers les faveurs d' Omar et je n’avais même pas remarqué qu’il m’avait mis trois doigt dans le cul. Je n’avais qu’une envie, malgré moi, c’est qu’il me défonce le cul. Soudain, Damien me lâcha et ordonna à Omar d’en faire de même. Ironiquement, il dit : “Je crois qu’on t’as assez humilié pour aujourd'hui, ça va, on en a fini” et sur ce, Omar et lui allèrent à la cuisine.

Il s’avait très bien que je ne voulais qu’une seule chose c’est qu’il continuent. Il voulait sûrement que je le lui demande. Moi étant trop orgueilleux et fier, je n’osais leur montrer qu’après tout, j’y prenais du plaisir, donc je me tus. Il me laissèrent ainsi très excité. Je sentais mon anus s’ouvrir et se refermer et n’attendais que l’arrivée d’une queue.

Damien me demanda de les rejoindre et m’offrit à boire. Omar était assis sur le tabouret derrière moi et recommença à jouer avec mon anus. Je fermai les yeux en poussant des halètements brefs. Je sentais son souffle chaud sur ma nuque ce qui me fit perdre la tête. Damien me pinça les tétons et me dit: “Allez demande le moi ! Demande le moi sinon on arête tout”. Moi qui depuis le début priait pour que ça s’arrête, je me retrouvais dans une situation paradoxale. Omar me labourait le cul avec deux doigt. Il s’arrêta net, me laissant sur ma faim. Je n'en pouvais plus, au diable l’amour propre, je balbutiai un : “Allez-y”. “Non ! " Rétorqua Damien, "mieux que ça ! Demande nous de baiser ton gros cul de salope” "Baise mon cul de Salope s’il te plait! J’en peux plus !"

Satisfait de la demande, il me prit les cheveux, et me fit me mettre à 4 pattes la tête dans les cuisses d’Omar qui m’offrit sa bite à sucer. Damien mit du gel sur ma raie, et me pénétrant d'un coup sec, m’arracha un cri de douleur. après quelque va et viens, la douleur disparut, et c’est moi qui donnait des coups de basin pour qu’il m’encule à fond.

“Regarde comment elle prend bien la bite cette salope ! " Lança Damien a Omar. Il commença a me fesser en même temps en continuant de m’insulter. C’en était trop, je déchargeai de longues giclées de sperme, mais je debandais pas. J’en voulais encore, et lorsque Damien se retira, mon trou dilaté resta ouvert et il cracha dedans. Ce vide me procura une sensation qui décupla encore plus mon plaisir. Omar vint se placer derrière moi. Rien qu’a l’idée de recevoir cette grosse queue dans le cul faillit me faire jouir. Je l’encourageais même : “Vas y, met la moi, je peut plus attendre”.

Je remarquai que Damien filmait la scène. Il devait être content, puisque c’est moi qui demandait maintenant, sans aucune contrainte. Mais je n’ai pas le temps de dire quoique ce soit. Omar me met de grands coups de bite qui me font des râler et crier de plaisirs. Il me mit sur le dos. Il voulait que je le regarde dans les yeux pendant qu’il m’enculait. Il continua de me labourer en me mettant des petites baffes et en me traitant de pute, salope, cochonne, et autres, et moi je disais “Oouiii, ouiii, encore, encore”

Il se retira et toujours couché sur le dos je le vis s’approcher avec Damien. Ils vinrent sur mon visage et se masturbèrent pour décharger dans ma bouche. Cette fois, point de répugnance au contraire. D’une bouche gourmande j’avalai ce foutre et m’en délectai. Damien avait bien sur tout filmé. Voyant que je bandais encore il prit un concombre dans la cuisine et me l’enfonça dans le cul. Tout en me baisant avec, il me demanda de regarder l’objectif du caméscope et de me masturber en même temps. Je fis ce qu’il me dit et jouis comme jamais je n’ai joui avant. Je rentrai chez moi et repensai a tout cela. Je ne savais plus quoi penser.

Je sais que Damien n’en n’a pas encore fini avec moi...

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